Conférence de Restitution sur la résolution 2250
Introduction
L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes assisesVoici ce qu’il faut retenir de la résolution 2250 :
La jeunesse est un pilier indispensable dans la construction d’une paix durable et de la prospérité dans le monde.

Il m’a été donné la tâche de faire l’économie de la Résolution 2250 sur la jeunesse, la paix et la sécurité,  relative au rôle important de la jeunesse dans l’établissement de la paix, dans le cadre de la lutte contre l’adhésion des jeunes aux mouvements de radicalisation qui est la source même du terroriste.
Mon intervention sera subdivisée en 3 branches qui sont : le contexte, les 5 piliers et une petite conclusion.
1.       Contexte
Notons que plusieurs travaux et rencontres ont été menés en vue de conduire à la mise en place de ladite Résolution, entre autres le Forum mondiale de la jeunesse sur la paix et la sécurité d’août 2015, le sommet mondial de la jeunesse contre l’extrémisme violent ainsi que la déclaration des jeunes sur la jeunesse, la  paix et la sécurité tenue à Amman en Jordanie (la Jordanie assure la paternité de la Résolution 2250). C’est finalement le 9 décembre 2015 que la résolution 2250 a été adopté par le conseil de sécurité des nations.
Selon la résolution 2250, la jeunesse est définie comme étant la tranche d’âge allant de 18 à 29 ans, cette définition varie selon chaque Etat. Il  existe quelques raisons qui ont amené  le conseil de sécurité a adopté cette résolution :
·         La jeunesse est plus nombreuse maintenant qu’il y a10 ans et elle constitue la majeur part de la population des pays en conflits armés.
·         La marginalisation et l’exclusion des jeunes des opportunités économiques, de l’éducation a un impact nocif sur la construction d’une paix durable, de la sécurité et de la résolution des conflits  en ce sens qu’l favorise
·         Vue son importance démographique la jeunesse dévient un pilier indispensable à la mise en place d’un monde meilleur.

2.       5 piliers de la Résolution 2250

1.       Participation : le conseil de sécurité exhorte les Etats membres d’ajouter les moyens d’augmenter la représentation inclusive des jeunes à tous les niveaux de prise des décisions liée à la paix et à la résolution des conflits. Tenir compte des points de vue des jeunes dans les accords de paix. Disons-le, au cas du Sud-Soudan  Riek Macha et Salva Kiir Mayardit sont les 2 Vieux qui se partagent le butin du pétrole de leur pays cependant sur terrain ce sont les jeunes qui se tirent dessus.
2.       Protection : il est demandé à toutes les parties concernées dans les conflits armés d’adopter des mesures nécessaires pour la protection des civils, des jeunes hommes et femmes en particulier contre toute sorte de violence sexuelle et sexiste.

3.       Prévention : les Etats membres doivent créer un environnement où les jeunes trouvent leur place et bénéficient de l’appui nécessaire en vue de mener des activités de prévention de la violence et favoriser la cohésion sociale.


4.       Partenariat : les Etats membres doivent accroitre leur appui politique, financier, technique et logistique en tenant compte des besoins des jeunes et de leur participation dans les efforts de paix. Un exemple est la mise en disposition des jeunes des installations publiques et des experts pour l’organisation des activités visant la paix.

5.       Désengagement et Réintégration : le conseil de sécurité engage tous ceux travaillent à la planification d’opérations de désarmement, démobilisation et réintégration à prendre en considération les besoins des jeunes touchés par les conflits telles que les offres d’emplois adaptés, des cures éducatives, appuis aux organisation non gouvernementales qui travaillent dans le domaine de réintégration et de démobilisation.

3.       Conclusion

En atterrissant retenons que l’établissement de la paix, la sécurité  et développement est impossible sans la prise en compte de la jeunesse, le siècle de  « jeunesse apprend et attend » prôné par un philosophe est révolu, maintenant la jeunesse doit penser et passer à l’action, « la jeunesse a besoin de la démocratie, la démocratie a besoin de la jeunesse »  nous concluons  en disant que la jeunesse est un pilier indispensable à construction de la paix et un monde meilleur.

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